tag:blogger.com,1999:blog-75503697520677554992024-03-13T15:36:28.316-07:00Sándor MÁRAICe blog est consacré au grand écrivain hongrois Sándor MÁRAI (1900-1989) et à toutes les informations ayant un rapport avec son oeuvre (en particulier une bibliographie multilingue), sa vie et les manifestations qui peuvent le concerner.Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.comBlogger113125tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-74395313452750319422019-09-07T11:52:00.000-07:002019-09-07T11:52:34.721-07:00Le journal, enfin !
Grande nouvelle pour les amateurs de Sándor Márai : la
parution du premier tome de la traduction en français de son journal par
Catherine Fay.
À partir du 11 septembre vous pourrez trouver en librairie
cet ouvrage, édité par Albin Michel, témoignage essentiel de la pensée du grand
écrivain hongrois. Pour une grande partie des critiques de son pays, c’est son œuvre
maîtresse.
Et Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-51120666625778049432018-09-26T11:10:00.000-07:002018-09-26T11:10:16.241-07:00
Les cafés de Sándor Márai, le samedi 29 septembre
au café "Le Sorbon", 60 rue des Ecoles, de 17 à 19h
Les cafés sont à la fois espaces de travail et lieux de socialisation. Sa vie durant, Sándor Márai ne cesse de les fréquenter et, dès ses débuts de romancier, il les transpose dans l'univers de sa fiction. Dès lors, les trois capitales que l'auteur connaît comme sa poche pour y avoir vécu dansVatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-63223997225759262542018-02-03T07:49:00.000-08:002018-02-03T07:49:21.681-08:00Prix de traduction Nicole Karatson-Bagarry 2018 à Catherine FayLe Prix de traduction Nicole Karatson-Bagarry 2018 a été décerné à Catherine Fay pour sa traduction de "Szindbad hazamegy" de Sándor Márai, (Dernier jour à Budapest, chez Albin Michel).
Le prix lui sera remis le 7 février 2018 à 19h30 à l'Institut Hongrois, 92 rue Bonaparte, 75006 Paris. Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-1744990321169607782017-10-11T04:58:00.003-07:002017-10-11T07:21:39.915-07:00Dernier jour à BudapestC'est sous ce titre qu'Albin Michel fait paraître la traduction par Catherine Fay de "Szindbád Hazamegy" (littéralement "Sindbad rentre à la maison"), roman-pastiche-hommage de Sándor Márai à l'écrivain hongrois qu'il a peut-être le plus apprécié : Gyula Krúdy.
Sortie en librairie, le 1er novembre.
Voici la présentation qu'en fait l'éditeur :
Dernier jour à Budapest
Dernier jour à Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-9055086863900660462016-10-21T05:27:00.000-07:002016-10-21T05:56:49.258-07:00A paraitre : cinq romans de Márai en un volumeLe 2 novembre prochain parait en librairie un volume de la Pochotèque qui rassemble cinq des romans les plus connus de Sándor Márai, déjà publiés séparément par Albin Michel :
- Premier amour
- Les Révoltés
- La Conversation de Bolzano
- Les Braises
- Métamorphoses d’un mariage
Si vous ne connaissez pas ce grand auteur hongrois du 20ème siècle profitez de cette édition pour découvrir celuiVatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-58775291719437747412016-04-20T02:39:00.000-07:002016-04-20T02:41:23.914-07:00Printemps (2)
Le printemps n’a pas
qu’odeur, couleur, lumière réfractée, littérature, mode, radis et jeunes
oignons, mais aussi une puissance de guérison dangereuse, sauvage. Au printemps
les bains, les eaux thermales, les herbes médicinales fraîches agissent sur le
corps humain avec une énergie comme jamais autrement : il faut traiter cela
très prudemment, comme avec un mystérieux remède miraculeux. Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-89231747425680607972016-02-01T10:04:00.002-08:002016-02-01T10:04:35.161-08:00« La nuit du bûcher »
Vient de paraître chez Albin Michel « La nuit du bûcher », la dernière oeuvre traduite en français de Sándor Márai.
Ce
roman, écrit en 1975, se situe parmi les derniers de la production de Márai
dans une série de romans « historiques » (dont aucun autre n’a encore
été traduit en français). Il se présente sous la forme d’une longue lettre d’un
moine carme espagnol à l’un de Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com7tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-455979896379586092016-01-03T14:16:00.000-08:002016-01-03T14:17:41.216-08:00Nouvel AnVoici ce qu'écrivait Márai dans son journal, il y a 70 ans au seuil de l'année 1946 :
Nouvel an. Le Danube est un miroir, comme de
l’eau dormante. Calme reflet au-dessus d’un pays soulagé. Dans l’eau se baignent paisiblement des oies
sauvages. Il y a un an aujourd’hui y flottaient
des cadavres pieds et poings liés.
Il y a un an aujourd’hui ce pays se tordait
sous les Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-11070110489439402492015-10-03T07:26:00.000-07:002015-10-03T07:26:23.339-07:00"La nuit du bûcher" présenté le 28 octobre à l'Institut Hongrois
La séance d’octobre des
rendez-vous littéraires de l’Institut hongrois verra le lancement de l’édition
française de La Nuit du Bûcher de Sándor Márai, à paraître en
novembre chez Albin Michel (le 5 novembre en librairie) dans une traduction de Catherine Fay. Dans ce roman
autour de la figure de Giordano Bruno, Márai explore l’Europe de l’Inquisition
au 16ème siècle et la
Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-38917346720864869192015-08-08T13:00:00.001-07:002015-08-09T09:12:17.120-07:00Sándor Márai et l’actrice Klari Tolnay
La révélation
En 1993 dans une émission littéraire la grande actrice
hongroise Klari Tolnay (1914-1998) révélait à la télévision la relation que Sándor Márai avait eue avec elle et
présentait un ensemble de dix poèmes dont l’écrivain lui avait fait cadeau sous le
titre de « Poèmes d’un poète chinois inconnu du XXème siècle »
préfacés d’une introduction du « traducteur ».
&Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-45685966928967736462015-04-04T02:54:00.001-07:002015-09-10T02:39:18.270-07:00"Ce que j'ai voulu taire" le dernier livre de Márai paru en français, présenté à l'Institut Hongrois le 15 avril
Dans le cadre de son rendez-vous mensuel autour des dernières parutions ayant trait à la Hongrie ou à l’Europe centrale éditées en français, l’Institut hongrois vous invite à la présentation de Ce que j'ai voulu taire de Sándor Márai, publié en 2014 chez Albin Michel.
« Longtemps présumé perdu avant d'être retrouvé et de paraître en 2013 à Budapest, Ce que j'ai voulu taire Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-110990448612095862015-03-08T11:46:00.001-07:002015-03-08T11:49:54.721-07:00Comme en mars
Comme en mars, quand
l’après-midi le crépuscule ne s’installe plus à quatre heures et que notre œil
habitué à l’obscurité hivernale ressent que cette lumière pâle est devenue déjà
plus tenace et intense, que le monde peut exprimer sa volonté, comme toujours,
par la lumière et la vie : crois bien qu’au-delà de la pestilence et de
l’infamie existent des forces plus claires, se cachent des Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-5116600934833260582015-02-01T08:24:00.003-08:002015-02-01T08:40:26.713-08:00L’actualité de Márai en 2014
France-Culture
lui a consacré le 29 mars une émission de sa série « Une vie, une œuvre » (voir dans ce blog les articles Sandor Marai sur France Culture, le samedi 29 mars 2014 du 16 mars, Réécouter"Une vie - Une œuvre" consacrée à Sándor Márai et En réécoutant "Une vie - uneoeuvre" du 31 mars.
2014
a vu comme l’année dernière un inédit de Márai être publié. Cette fois il s’agit
sousVatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-39823244523143267642014-12-15T11:05:00.000-08:002015-03-08T11:48:42.944-07:00Est-ce bon ? ...
La Bible dit que Dieu a créé le monde, et puis au septième
jour « il se reposa et vit que c’était bon ».
Seul un homme aurait pu parler ainsi, jamais Dieu. Dieu a
créé le monde, pourtant – très certainement - il n’a jamais ressenti
que « c’était bon » ce qu’il avait créé. C’est le contentement de soi du petit
artisan qui fièrement contemple le travail de ses mains, une balance, un
cercueil Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-78907734358760249292014-11-25T11:09:00.000-08:002014-11-25T11:15:25.266-08:00Après la lecture de "Ce que j'ai voulu taire"
« J’ai voulu me taire. Mais le temps m’a
interpellé et j’ai su que c’était impossible. Plus tard encore, j’ai compris
que le fait de se taire était une réponse en soi, à l’instar de la parole et de
l’écrit. Parfois se taire n’est pas la réponse la moins dangereuse. Rien
n’irrite tant l’autorité qu’un silence qui la nie ».
Ainsi Sándor
Márai débute-t-il « Ce que j’ai
voulu taire&Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-32880213040415067672014-10-29T03:24:00.000-07:002014-10-29T05:01:14.830-07:00Parution aujourd'hui de "Ce que j'ai voulu taire"
Aujourd'hui est disponible en librairie "Ce que j'ai voulu taire" de Sándor Márai, Editions Albin Michel (traduction Catherine Fay)
Voici l'article que lui consacre "L'homme en question", revue de l'éditeur.
Les dernières confessions d’un
bourgeois
Avant la Seconde
Guerre mondiale, Sándor Márai était un écrivain et un journaliste reconnu en
Hongrie. Il menait une existence bourgeoise Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-9774935831343313702014-10-23T10:47:00.000-07:002014-10-29T02:32:44.054-07:00Une édition bilingue anglais-hongrois de poèmes de Sándor MáraiSous le titre de The Withering World, Alma Books, un éditeur anglais indépendant, vient de publier une anthologie de poèmes de Sándor Márai en édition bilingue.
Présentation de l'ouvrage par l'éditeur
This collection, the first and only edition of Márai’s poems in the English language – here presented in John M. Ridland’s and Peter V. Czipott's brilliant verse translation – offers a Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-16740979628403975722014-10-12T10:10:00.000-07:002014-10-12T10:10:10.590-07:00Parution prochaine de "Ce que j'ai voulu taire"
Albin Michel annonce la parution, le mois prochain de "Ce que j'ai voulu taire" de Sándor Márai.
Ce livre qui n'est paru en Hongrie qu'en avril 2013, est, d'après Márai lui même, une continuation des Confessions d'un bourgeois pour la période qui commence à l'Anschluss (l'occupation-annexion de l'Autriche par Hitler en 1938).
Voir aussi dans ce blog l'article "Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-824922219901730562014-09-10T06:36:00.000-07:002014-09-10T06:36:10.466-07:00Les politiques français aiment Márai
Après que François Hollande et Nicolas Sarkozy ont cités "Les Braises" dans la liste de leurs livres préférés, Fleur Pellerin, la nouvelle ministre de la Culture du gouvernement français cite "La Conversation de Bolzano" de l'écrivain hongrois Sándor Márai parmi ses livres de chevet. (Figaro Madame)
Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-71148141859495550152014-09-03T15:06:00.004-07:002014-09-03T15:11:09.623-07:00Le romain
Je vis comme
les anciens romains au temps où les empereurs se succédaient rondement. Je me
lève tard, prend tranquillement le petit déjeuner, lit quelques pages de sages
écrits et allongé sur le lit j’épie l’animation printanière des oiseaux pépiant
derrières les volets. Puis je me rends aux bains publics. Là, un livre agréable
à la main, je m’assois sur un banc de pierre, observe les jeunes Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-65032385192581726622014-06-03T11:11:00.000-07:002016-04-20T03:07:52.966-07:00Et un jour ...
Et un jour
tout aura un autre sens. Considère l’espace dans lequel tu vis à présent,
contemple le paysage qui a rayonné vers toi sous toutes les variantes des
saisons à travers les fenêtres de ta chambre, regarde dans les visages des gens
que tu as cru connaitre, aimer ou haïr, examine les objets dont ta vie était
entourée : vient l’instant où tu apprends que tout cela n’était qu’une
Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-57425878048062393892014-04-15T13:47:00.000-07:002014-06-03T11:10:28.663-07:00La fable chinoise- Et bien – dit la femme -, tu viens ?
L’homme se taisait. Il tripotait ses gants et dit
le regard baissé :
- J’ai entendu un jour une fable. Une fable
chinoise, bien entendu. C’était ainsi : dans une province éloignée
vivaient un homme et une femme. Un matin ils sentirent qu’une voix leur
transmettait un message, un ordre :
ils se levèrent de leur couche et comme des Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-51718018895231458132014-03-31T15:49:00.001-07:002014-04-20T15:58:05.383-07:00En réécoutant "Une vie - une oeuvre"
Si vous
écoutez ou réécoutez sur France Culture l'émission "Une vie - une
œuvre" consacrée samedi 29 mars à Sándor Márai (http://www.franceculture.fr/podcast/4685672)
voici quelques informations, précisions ou remarques à propos des différentes
interventions :
Quand, pour la première fois
Márai revient à sa maison de la rue Mikó après la levée du siège de
Budapest, il retrouve Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-40158401077747206622014-03-29T15:35:00.001-07:002014-03-30T05:36:37.395-07:00Réécouter "Une vie - Une œuvre" consacrée à Sándor Márai
Pour réécouter l'émission Une vie - Une œuvre consacrée à Sándor Márai, diffusée sur France Culture le 29 mars,
http://www.franceculture.fr/emission-une-vie-une-oeuvre-sandor-marai-1900-1989-2014-03-29
Ceux qui voudraient lire le texte dit à la fin de l'émission, peuvent le retrouver sur ce blog (article du 14 janvier : La forêt, traduit par mes soins d'abord à partir de Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0tag:blogger.com,1999:blog-7550369752067755499.post-63884888523971264372014-03-16T09:18:00.000-07:002014-03-16T09:18:25.924-07:00Sandor Marai sur France Culture, le samedi 29 mars 2014
L’émission
« Une
vie, une œuvre »
sera consacrée à Sandor
Marai sur France Culture
le samedi 29 mars 2014 de 16h à 17h
par Laetitia Le
Guay
réalisation : Ghislaine David
Sandor Marai s’est imposé comme l’auteur hongrois le plus lu en France, avec
des romans construits comme des thrillers, autour de secrets de famille,
d’événements mystérieux du passé (Premier Amour,Vatihttp://www.blogger.com/profile/14016115260703419941noreply@blogger.com0